De prime abord, bon nombre de choses n'ont pas changé depuis mon dernier billet sur la Maison des Trois Thés : le cadre semble toujours le même, la sonnette est toujours à l'entrée, la scène est toujours composée de copie modernes de meubles traditionnels chinois et de quelques meubles anciens, les boites à thé sont toujours à leur place, ainsi que la plupart des ustensiles proposés ou non à la vente ... j'oubliais : toujours pas de site internet digne de ce nom ou de cartes de tarifs à emporter ...
Il faut bien avouer que, amateur de meubles vernaculaires et de meubles classiques de style Ming ou Qing, je suis sensible au charme de ce décor, à la fois désuet mais aussi résolument moderne dans ses lignes ...
Mais il y a eu un changement de taille, car la Maison a grignoté la cave à vins/épicerie fine/crèmerie/alimentation qui occupait une partie du rez-de-chaussée du bâtiment et cela grâce à des travaux d'envergure : percement des murs de séparation, percement du plancher de l'étage intermédiaire, percement et restructuration de la façade comme on peut le voir sur les deux photographies ci-dessous, bref des travaux coûteux, ce qui étonne plutôt pour une Maison qui serait entretenue à perte (note : l'article de référence publié sur Médialibre par Emmanuelle Raybaut Mbengue à l'adresse "http://www.medialibre.info/dailleurs/?p=1465", où Fabien Maiolino "confiait" ce maintient à perte, à disparu alors qu'il était en ligne depuis des années ... fort heureusement pour moi, j'en garde une copie d'écran), mais passons ...
Photographie © Google Inc. |
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Numérotés, les pots de confiture.... sacré Maîtresse, sacré Maïolino!
RépondreSupprimerEt je suis d'accord avec toi, j'aime l'ambiance du lieu malgré tout. Malgré les affabulations, les personnages, la mentalité ou les prix.
Vu le prix du pot, on peut bien mettre un petit numéro en plus ;)
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