En 2010, a débuté le transfert et la réorganisation de la collection nationale d'arts asiatiques de la Galerie Nationale de République Tchèque. Auparavant présentée au Château de Zbraslav, la collection est désormais présentée au Palais Kinsky, palais Rococo construit au XVIIIème siècle, situé sur la place de la vieille ville, en plein dans le centre historique de la ville de Prague.
Après 4 ans de fermeture, la réouverture au public a eu lieu au début du printemps 2014, la nouvelle muséographie, très moderne, mise en place exposant avant tout des pièces représentatives de l'art chinois et japonais, mais aussi certaines pièces tibétaines, népalaises, indonésiennes et thaïlandaises.
Les bronzes monumentaux sont bien représentés, et ce dès l'entrée même du musée, celle-ci étant matérialisée par une lanterne japonaise en bronze ou Toro de près de 3 mètres de haut. La montée vers le premier étage du Palais Kinsky permet également de croiser un vase chinois en bronze et émaux cloisonnés monumental ainsi que deux Shishi japonais en bronze et émaux, pas réellement plus petits ...
La collection est relativement condensée, mais permet de faire efficacement et relativement rapidement le tour de tous les différents domaines représentatifs des arts asiatiques, même si les collections sont avant tout axées sur les mondes chinois et japonais.
La collection va ainsi des Mingqi aux céramiques chinoises d'exportation du XIXème siècle en passant par les bronzes siamois de la période Ratanakosin, les laques japonais de toutes sortes ou les objets du Lettré chinois.
L'attrait principal de ce musée n'est cependant pas le "rapide" tour d'horizon des différents champs des arts asiatiques qu'il propose, mais son parti pris muséographique qui permet une réelle proximité avec les œuvres, le visiteur pouvant littéralement coller son nez à des Netsuke minuscules ou à des Inro pas beaucoup plus grands ...
Enfin, le département des céramiques, même s'il ne présente pas des milliers de pièces, permet de capter facilement une multitude de détails, là encore grâce à la muséographie résolument moderne adoptée par cette nouvelle institution.
Les bronzes monumentaux sont bien représentés, et ce dès l'entrée même du musée, celle-ci étant matérialisée par une lanterne japonaise en bronze ou Toro de près de 3 mètres de haut. La montée vers le premier étage du Palais Kinsky permet également de croiser un vase chinois en bronze et émaux cloisonnés monumental ainsi que deux Shishi japonais en bronze et émaux, pas réellement plus petits ...
La collection est relativement condensée, mais permet de faire efficacement et relativement rapidement le tour de tous les différents domaines représentatifs des arts asiatiques, même si les collections sont avant tout axées sur les mondes chinois et japonais.
La collection va ainsi des Mingqi aux céramiques chinoises d'exportation du XIXème siècle en passant par les bronzes siamois de la période Ratanakosin, les laques japonais de toutes sortes ou les objets du Lettré chinois.
L'attrait principal de ce musée n'est cependant pas le "rapide" tour d'horizon des différents champs des arts asiatiques qu'il propose, mais son parti pris muséographique qui permet une réelle proximité avec les œuvres, le visiteur pouvant littéralement coller son nez à des Netsuke minuscules ou à des Inro pas beaucoup plus grands ...
Enfin, le département des céramiques, même s'il ne présente pas des milliers de pièces, permet de capter facilement une multitude de détails, là encore grâce à la muséographie résolument moderne adoptée par cette nouvelle institution.
2 commentaires:
Encore une raison, et pas la moindre, pour aller découvrir cette ville devenue "incontournable" pour tout touriste qui se respecte !
Si seulement l'intelligence qui a présidé à la présentation des objets pouvait faire des émules en France ! Surtout dans les expositions temporaires...
De ce point de vue, le Musée Guimet est relativement organisé de la même manière, tout comme le musée Cernuschi ou encore la très grande majorité des musées nationaux qui présentent des collections patrimoniales de premier plan ... maintenant il est certain que bon nombre de musées de petites villes de "province" sont "à la traine" et ne peuvent pas non plus se permettre de mettre en place de telles présentations, qui nécessitent presque toujours des travaux coûteux et une longue fermeture, bien souvent impossible car signifiant une chute des rentrées d'argent, une perte de visibilité, des pertes de subventions, des impossibilités techniques quand le-dit musée est situé dans un bâtiment classé, ...
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